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greve du lait
Rappel du premier message :
pour eviter de mettre des post partout ,je vous propose qu'il y est un seul post pour la greve du lait !!
pour eviter de mettre des post partout ,je vous propose qu'il y est un seul post pour la greve du lait !!
Invité- Invité
Re: greve du lait
message reçu le 7 octobre
Bonjour à tous
Après mon passage à Bruxelles quelques nouvelles de la réalité bien différente de la télé
Tout d'abord nous y étions très nombreux et de tous pays confondus
Mais quesqu'il en ressort concrêtement : 1) la régulation du marché a été obtenu et acté , cette information ne sera révélée par les médias qu'à partir du 18 Octobre , pourquoi ?c'est simple : la FNSEA manifeste le 16 mais afin de garder la tête haute il est prévu que cette réussite leur soit destinée ce qui est lamentable ! tout le travail de l'APLI - EMB ne peut pas leur être offert sur un plateau c'est trop facile , il ne propose rien à part des gêles de 1 an qui n'aideront en rien les agriculteurs
2) Notre ministre nous a très fortement écouté et entendu et est entièrement convaincu de notre bon sens et de la réalité
Résultat : Jean Michel Lemétayer a demandé la démission de celui ci le trouvant très gênant puisqu'il ne partage ni ses idées ni ses convictions
3) Certaines laiteries ont enfin parlées et confirment qu'elles accepteraient un prix au producteurs de 360 euros MAIS notre cher Lemétayer refuse cet accord car ne serait plus crédile devant ses partisants sur son contrat signé à 280 euros et demande le maintient à 280 , en un mot ils préfèrent nous voir creuver pour sa réussite personnelle , et oui comme ça chauffe pour lui ses mandats divers pourraient stopper et adieu à ses 28000 euros d'indemnités mensuelles (les problèmes de trésoreries il ne doit pas les connaître lui !) elles servent bien les cotisations que vous payez !
4) Un groupe d'experts verra le jour en juin 2010 pour s'occuper de la régulation des marchés et l'APLI sera présente
5) Mr Sarkozy va être très fortement sollicité ce mercredi pour la prise en main rapide de notre dossier afin d'obtenir très vite des réponses en suspens , si nos ministres européens ne peuvent se prononcer sur certains points forts il faut prendre le taureau par les cornes car bien nombre d'entre nous seront morts prochainement , il est urgent d'obtenir des décisions rapides si nous voulons rester agriculteurs et vivre de notre métier , nous ne demandons pas la mère à boire juste vivre de notre métier , pouvoir payer nos factures et gagner un minimun d'argent !
Voilà je tenais à vous faire part de la réalité des choses , pour les partisants de Lemétayer , que je respecte , réfléchissez bien , posez vous les bonnes questions car à ce jour je ne crois pas qu'il soit digne de vous défendre , posez vous la question si vous devez continuer à cotiser à un syndicat qui vous étrangle et qui ne défend en aucun cas vos intérets , il a beau être pour l'instant le syndicat majoritaire il ne reflette en rien la cause de la survie et de notre vie future !
Amicalement
ANNE
Bonjour à tous
Après mon passage à Bruxelles quelques nouvelles de la réalité bien différente de la télé
Tout d'abord nous y étions très nombreux et de tous pays confondus
Mais quesqu'il en ressort concrêtement : 1) la régulation du marché a été obtenu et acté , cette information ne sera révélée par les médias qu'à partir du 18 Octobre , pourquoi ?c'est simple : la FNSEA manifeste le 16 mais afin de garder la tête haute il est prévu que cette réussite leur soit destinée ce qui est lamentable ! tout le travail de l'APLI - EMB ne peut pas leur être offert sur un plateau c'est trop facile , il ne propose rien à part des gêles de 1 an qui n'aideront en rien les agriculteurs
2) Notre ministre nous a très fortement écouté et entendu et est entièrement convaincu de notre bon sens et de la réalité
Résultat : Jean Michel Lemétayer a demandé la démission de celui ci le trouvant très gênant puisqu'il ne partage ni ses idées ni ses convictions
3) Certaines laiteries ont enfin parlées et confirment qu'elles accepteraient un prix au producteurs de 360 euros MAIS notre cher Lemétayer refuse cet accord car ne serait plus crédile devant ses partisants sur son contrat signé à 280 euros et demande le maintient à 280 , en un mot ils préfèrent nous voir creuver pour sa réussite personnelle , et oui comme ça chauffe pour lui ses mandats divers pourraient stopper et adieu à ses 28000 euros d'indemnités mensuelles (les problèmes de trésoreries il ne doit pas les connaître lui !) elles servent bien les cotisations que vous payez !
4) Un groupe d'experts verra le jour en juin 2010 pour s'occuper de la régulation des marchés et l'APLI sera présente
5) Mr Sarkozy va être très fortement sollicité ce mercredi pour la prise en main rapide de notre dossier afin d'obtenir très vite des réponses en suspens , si nos ministres européens ne peuvent se prononcer sur certains points forts il faut prendre le taureau par les cornes car bien nombre d'entre nous seront morts prochainement , il est urgent d'obtenir des décisions rapides si nous voulons rester agriculteurs et vivre de notre métier , nous ne demandons pas la mère à boire juste vivre de notre métier , pouvoir payer nos factures et gagner un minimun d'argent !
Voilà je tenais à vous faire part de la réalité des choses , pour les partisants de Lemétayer , que je respecte , réfléchissez bien , posez vous les bonnes questions car à ce jour je ne crois pas qu'il soit digne de vous défendre , posez vous la question si vous devez continuer à cotiser à un syndicat qui vous étrangle et qui ne défend en aucun cas vos intérets , il a beau être pour l'instant le syndicat majoritaire il ne reflette en rien la cause de la survie et de notre vie future !
Amicalement
ANNE
Invité- Invité
Re: greve du lait
j'ai qu'une chose a dire bravo a l'APLI EMB, qui c'est vraiment battu pour défendre les éleveurs laitiers!!!!!!!
Sortir par la porte de derrière du Space
On trouve toujours une porte derrière un salon "pour fuir".
http://video.google.fr/videosearch?hl=fr&rlz=1T4GGLG_frFR310FR310&resnum=0&q=lemetayer+bousculer+au+space&um=1&ie=UTF-8&ei=cazYStfpN9C14QbtkbH1Bg&sa=X&oi=video_result_group&ct=title&resnum=4&ved=0CBQQqwQwAw#
http://video.google.fr/videosearch?hl=fr&rlz=1T4GGLG_frFR310FR310&resnum=0&q=lemetayer+bousculer+au+space&um=1&ie=UTF-8&ei=cazYStfpN9C14QbtkbH1Bg&sa=X&oi=video_result_group&ct=title&resnum=4&ved=0CBQQqwQwAw#
GL- + membre techno +
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Assis
Re: greve du lait
QUOI 29 a écrit:message reçu le 7 octobre
Mais quesqu'il en ressort concrêtement : 1) la régulation du marché a été obtenu et acté , cette information ne sera révélée par les médias qu'à partir du 18 Octobre , pourquoi ?c'est simple : la FNSEA manifeste le 16 mais afin de garder la tête haute il est prévu que cette réussite leur soit destinée ce qui est lamentable ! tout le travail de l'APLI - EMB ne peut pas leur être offert sur un plateau c'est trop facile , il ne propose rien à part des gêles de 1 an qui n'aideront en rien les agriculteurs
Ca marche comme sur des roulettes pour la Fédé encore une fois !!!!!
Du grand mendez encore une fois...
bidou02- + membre techno +
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Pas loin de Marly Gomont (02)
bidou02- + membre techno +
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Une question
Quand on fixe des quotas qui dépasse de 5 % les besoins, c'est bien la meilleurs façon de faire tomber les cours.
Cette crise ne serait pas due au hasard ?
Cette crise ne serait pas due au hasard ?
GL- + membre techno +
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Assis
Re: greve du lait
GL a écrit:Quand on fixe des quotas qui dépasse de 5 % les besoins, c'est bien la meilleurs façon de faire tomber les cours.
Cette crise ne serait pas due au hasard ?
je pense aussi que la crise tombe bien.... et qu'on la fait durer... il n'y a pas longtemps j'aurais dit qu'il fallait au moins 400milles litre pour s'en sortir en lait.... mais je pense qu'a bruxelles les fonctionaires ont mis la barre a .......................800 milles...
haddock- + membre techno +
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Re: greve du lait
Je pense que c'est les marges de transformation et de distributions qui ont exploser.
Un éleveur me disait un jour que dans l'usine ou il va et qui fabrique du yaourt. Le produit n'avait pas de valeur avant l'emballage, le "packaging", je te dis pas le lait.
Les céréaliers ont échapper dans un premier temps à la tempête en faisant la course à l'armement mais je vois pas d'issues par là.
Un éleveur me disait un jour que dans l'usine ou il va et qui fabrique du yaourt. Le produit n'avait pas de valeur avant l'emballage, le "packaging", je te dis pas le lait.
Les céréaliers ont échapper dans un premier temps à la tempête en faisant la course à l'armement mais je vois pas d'issues par là.
GL- + membre techno +
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Assis
Re: greve du lait
du grand n'importe quoi, comme si l'europe devait attendre une manif francaise pour pondre qque chose et le rendre public.bidou02 a écrit:QUOI 29 a écrit:message reçu le 7 octobre
Mais quesqu'il en ressort concrêtement : 1) la régulation du marché a été obtenu et acté , cette information ne sera révélée par les médias qu'à partir du 18 Octobre , pourquoi ?c'est simple : la FNSEA manifeste le 16 mais afin de garder la tête haute il est prévu que cette réussite leur soit destinée ce qui est lamentable ! tout le travail de l'APLI - EMB ne peut pas leur être offert sur un plateau c'est trop facile , il ne propose rien à part des gêles de 1 an qui n'aideront en rien les agriculteurs
Ca marche comme sur des roulettes pour la Fédé encore une fois !!!!!
Du grand mendez encore une fois...
peewee- + membre techno +
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bzh
Re: greve du lait
Lait | |||||||||||
Bruxelles serait prêt à accorder 300 millions d'euros aux éleveurs (d'après AFP - 16/10/09) | |||||||||||
|
Invité- Invité
Re: greve du lait
L'Europe répond aux laitiers:
" des primes, pas des prix"
" des primes, pas des prix"
GL- + membre techno +
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Assis
Re: greve du lait
Crise du lait: l'Europe va débloquer 280 millions d'euros
La commissaire européenne à l'Agriculture, Mariann Fischer Boel, a annoncé lundi matin vouloir débloquer une aide de 280 millions d'euros en faveur du secteur laitier en crise, peu avant une réunion ministérielle de l'UE sur le sujet.
Des producteurs de lait face à des policiers, le 19 octobre 2009 à Luxembourg où se tient une réunion des ministres de l'Agriculture de l'UE.);]
"Je vais vider mes poches et j'ai 280 millions d'euros pour les agriculteurs" du secteur laitier, a-t-elle dit à la presse à son arrivée, en parlant d'un "fonds laitier" d'aide à la profession.
Elle n'a pas donné immédiatement de détails sur la manière dont cette enveloppe serait dépensée mais précisé que la Commission en déciderait, en liaison avec les gouvernements européens.
Déjà vendredi, un projet d'aide de l'Union européenne "proche de 300 millions d'euros" avait filtré, de source diplomatique.
La Commission européenne s'est décidée à agir sous la pression des agriculteurs en colère qui dénoncent la chute des prix depuis des mois. Ces derniers comptent à nouveau manifester à Luxembourg lundi en marge de la réunion des ministres européens de l'Agriculture.
Un groupe d'une vingtaine de pays, emmené par la France et l'Allemagne, milite activement auprès de l'exécutif européen pour que le secteur laitier, en cours de libéralisation avec la fin programmée des quotas (plafonds) de production, ne soit pas livré à la seule loi du marché.
Lors d'une réunion à Vienne il y a tout juste une semaine, ces pays avaient justement réclamé une aide de 300 millions d'euros en 2010 pour la filière.
Selon un diplomate européen, le budget de l'UE présente suffisamment de marge de fonds non utilisés.
"Il leur faut quelque chose pour tenir avant la remontée des cours" du lait, qui se fait déjà sentir sur le marché mondial, mais ne sera pas répercutée avant quelques mois sur les prix du lait à la production dans les pays européens, a-t-il insisté.
Mme Fischer Boel a précisé à Luxembourg qu'elle était d'accord avec la plupart des propositions du groupe de vingt pays en faveur de mesures de régulation du marché du lait, passant notamment par des aides au stockage des produits lorsque ces derniers ont du mal à se vendre.
Elle a en revanche refusé l'une d'elles, visant à promouvoir l'utilisation de poudre de lait dans l'alimentation animale, afin d'augmenter les débouchés des producteurs.
La réunion de Luxembourg se tient dans un contexte tendu dans le monde agricole.
En France, première puissance agricole européenne, le monde paysan est descendu vendredi dans la rue pour demander d'urgence un plan général massif de soutien du gouvernement, les exploitants ayant vu leur revenu s'effondrer avec la chute des cours de leurs produits.
Dans le secteur laitier, nombre de producteurs réclament le maintien d'une limitation administrative de la production, pour empêcher une chute des prix. Ce que Bruxelles refuse.
La commissaire européenne à l'Agriculture, Mariann Fischer Boel, a annoncé lundi matin vouloir débloquer une aide de 280 millions d'euros en faveur du secteur laitier en crise, peu avant une réunion ministérielle de l'UE sur le sujet.
Des producteurs de lait face à des policiers, le 19 octobre 2009 à Luxembourg où se tient une réunion des ministres de l'Agriculture de l'UE.);]
"Je vais vider mes poches et j'ai 280 millions d'euros pour les agriculteurs" du secteur laitier, a-t-elle dit à la presse à son arrivée, en parlant d'un "fonds laitier" d'aide à la profession.
Elle n'a pas donné immédiatement de détails sur la manière dont cette enveloppe serait dépensée mais précisé que la Commission en déciderait, en liaison avec les gouvernements européens.
Déjà vendredi, un projet d'aide de l'Union européenne "proche de 300 millions d'euros" avait filtré, de source diplomatique.
La Commission européenne s'est décidée à agir sous la pression des agriculteurs en colère qui dénoncent la chute des prix depuis des mois. Ces derniers comptent à nouveau manifester à Luxembourg lundi en marge de la réunion des ministres européens de l'Agriculture.
Un groupe d'une vingtaine de pays, emmené par la France et l'Allemagne, milite activement auprès de l'exécutif européen pour que le secteur laitier, en cours de libéralisation avec la fin programmée des quotas (plafonds) de production, ne soit pas livré à la seule loi du marché.
Lors d'une réunion à Vienne il y a tout juste une semaine, ces pays avaient justement réclamé une aide de 300 millions d'euros en 2010 pour la filière.
Selon un diplomate européen, le budget de l'UE présente suffisamment de marge de fonds non utilisés.
"Il leur faut quelque chose pour tenir avant la remontée des cours" du lait, qui se fait déjà sentir sur le marché mondial, mais ne sera pas répercutée avant quelques mois sur les prix du lait à la production dans les pays européens, a-t-il insisté.
Mme Fischer Boel a précisé à Luxembourg qu'elle était d'accord avec la plupart des propositions du groupe de vingt pays en faveur de mesures de régulation du marché du lait, passant notamment par des aides au stockage des produits lorsque ces derniers ont du mal à se vendre.
Elle a en revanche refusé l'une d'elles, visant à promouvoir l'utilisation de poudre de lait dans l'alimentation animale, afin d'augmenter les débouchés des producteurs.
La réunion de Luxembourg se tient dans un contexte tendu dans le monde agricole.
En France, première puissance agricole européenne, le monde paysan est descendu vendredi dans la rue pour demander d'urgence un plan général massif de soutien du gouvernement, les exploitants ayant vu leur revenu s'effondrer avec la chute des cours de leurs produits.
Dans le secteur laitier, nombre de producteurs réclament le maintien d'une limitation administrative de la production, pour empêcher une chute des prix. Ce que Bruxelles refuse.
Invité- Invité
Re: greve du lait
j suis degouter tout et politique
attendre l apres manif fédé pour annoncer des mesures...
des mesurettes pour faire rentrer dans le rang
attendre l apres manif fédé pour annoncer des mesures...
des mesurettes pour faire rentrer dans le rang
carlo s- + membre techno +
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sud de l'ile
Re: greve du lait
aux infos des aides pour les laitiers !!!!
ça fait bien vis a vis des gens
massol en pleine traite sur la 3 ce midi comme quoi c est le gens du terrain qui font le mieux pas les carrieristes politique
ça fait bien vis a vis des gens
massol en pleine traite sur la 3 ce midi comme quoi c est le gens du terrain qui font le mieux pas les carrieristes politique
carlo s- + membre techno +
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Re: greve du lait
Cela represente entre 600 à 700 € par laitier en moyenne. ça ressemble à la prime de rentrer scolaire. Circuler y'a rien à voir!!!
En espérant que la Chambre ne vous prenne pas 500€ pour monter le dossier!!!
Ce soir , Le Maire était content, je pense aussi que la FEDE va démontrer qu' elle a fait le maxi pour un mini.
En conclusion, c' est pas des subventions mais des prix en corrélation au travail, mais ça doit être trop compliquer!!!
En espérant que la Chambre ne vous prenne pas 500€ pour monter le dossier!!!
Ce soir , Le Maire était content, je pense aussi que la FEDE va démontrer qu' elle a fait le maxi pour un mini.
En conclusion, c' est pas des subventions mais des prix en corrélation au travail, mais ça doit être trop compliquer!!!
Invité- Invité
Re: greve du lait
Une subvention n' est jamais un cadeau et il y a toujours une contrepartie.
Il va falloir le bouffer le soja américain... ou autre chose
Il va falloir le bouffer le soja américain... ou autre chose
Invité- Invité
Re: greve du lait
fisher boel a le merite de rassembler tous les syndicats .... contre elle
carlo s- + membre techno +
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Re: greve du lait
Ficher c' est pas une girouette, au moins elle on sait ce qu'elle pense. Vous devriez l' invité à votre repas du 16 janvier
Invité- Invité
Re: greve du lait
douceur angevine a écrit: Ficher c' est pas une girouette, au moins elle on sait ce qu'elle pense. Vous devriez l' invité à votre repas du 16 janvier
on serais peut etre bien surpris .....
carlo s- + membre techno +
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Re: greve du lait
douceur angevine a écrit: Ficher c' est pas une girouette, au moins elle on sait ce qu'elle pense. Vous devriez l' invité à votre repas du 16 janvier
je crois qu'elle ne mange pas les mêmes rillettes que nous!!!
jp097- + membre techno +
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Re: greve du lait
douceur angevine a écrit:Une subvention n' est jamais un cadeau et il y a toujours une contrepartie.
Il va falloir le bouffer le soja américain... ou autre chose
poulet chloré !!!!!
Invité- Invité
Re: greve du lait
douceur angevine a écrit:Tu y vas au repas?
je ne sais pas encore
jp097- + membre techno +
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Re: greve du lait
yesdouceur angevine a écrit:Si tu y vas , j' irais avec toi . A voir
jp097- + membre techno +
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Re: greve du lait
tof pour faire sourire achille
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carlo s- + membre techno +
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Re: greve du lait
pour la photo c est ici
http://www.le-mag.fr/actualites-agricoles/articles/actu/la-fnsea-d-bord-e-par-ses-bases-1894-3-1.html
http://www.le-mag.fr/actualites-agricoles/articles/actu/la-fnsea-d-bord-e-par-ses-bases-1894-3-1.html
carlo s- + membre techno +
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Re: greve du lait
[quote="carlo s"]pour la photo c est ici
http://www.le-mag.fr/actualites-agricoles/articles/actu/la-fnsea-d-bord-e-par-ses-bases-1894-3-1.html[/quote]
http://www.le-mag.fr/actualites-agricoles/articles/actu/la-fnsea-d-bord-e-par-ses-bases-1894-3-1.html[/quote]
Invité- Invité
Re: greve du lait
Benjamin MASSON n'avait pas vu que les laitiers toutes tendances confondues, bousculant leurs cadres venaient de faire l'Europe que les politiciens ne savent pas faire dans la plus grande jacquerie de l'histoire du vieux continent.
GL- + membre techno +
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Assis
Re: greve du lait
bon GL les indus n ont pas dit leur dernier mot
« Tout le système laitier est en train de s’effondrer »
La maîtrise de la production et la gestion des excédents laitiers restent des questions centrales pour le président de la Fédération des industries laitières, qui considère que dans la situation de crise actuelle, le « modèle agricole français » ne se maintiendra que s’il gagne en compétitivité.
Les Marchés : Quel regard portez-vous sur la situation de la filière laitière au niveau français, ainsi qu’au niveau européen et mondial ?
Olivier Picot : Les entreprises portent un regard déçu et exaspéré sur la perte de compétitivité de l’industrie française. Tout le système laitier est en train de s’effondrer. Cela peut entraîner une perte d’efficacité de l’amont laitier. Cette situation pourrait se retourner contre les producteurs eux-mêmes. Certains sont très attachés à notre modèle agricole français. Comment faire pour qu’il dure ? Qu’il soit compétitif. Le modèle agricole français n’est pas fait uniquement de petites exploitations dans tous les villages de France. La France laitière, c’est aussi 30 % du lait produit en beurre-poudre sur le marché mondial, avec au milieu une industrie puissante, 7 milliards d’euros d’exportations. C’est cela aussi le modèle agricole français. Ce n’est pas uniquement des AOC, c’est aussi une industrie laitière. Si cet ensemble est considéré comme faisant partie du modèle agricole, cela me rassure.
LM : Les solutions envisagées par le couple franco-allemand sur la nouvelle régulation laitière européenne vous satisfont-elles ?
O. P. : Encore une fois, sauf rebâtir un dispositif européen administré – ce que les 27 États membres ne souhaitent pas –, il va bien falloir prendre en compte la demande des consommateurs et les prix sur les marchés. Si nous n’allons pas sur ce terrain-là, la filière (les industriels tout comme les producteurs) va faire face à d’importants déboires. Dans cette perspective, tous les outils proposés peuvent être parfaitement utiles. C’est dans le pays où le lait est 20 % plus cher qu’ailleurs qu’il y a les plus grandes manifestations de producteurs. Malgré un prix élevé en France, les éleveurs sont cependant en grande difficulté, ce qui prouve bien qu’il y a un problème de compétitivité en amont. La filière doit prendre en main sa propre restructuration. À défaut, nous risquons de perdre durablement des parts de marché. Pour la première fois, les importations allemandes sont très importantes. Si rien ne change, les conséquences seront dévastatrices pour l’industrie. À terme, le risque est de transférer la consommation et la production laitières en Allemagne. En situation de crise, les plus efficaces émergent. Manifestement, ce ne sont pas les Français.
LM : Voulez-vous dire qu’il y a trop de producteurs de lait en France ?
O. P. : Ce n’est pas ce que je pense. Depuis 20 ans, alors que les quotas existaient – les défendre me paraît d’ailleurs illusoire –, le nombre de producteurs n’a cessé de baisser. Le prix de revient du lait est central et il ne dépend pas du nombre de producteurs. L’industrie ne demande pas des prix du lait bas, mais un prix du lait compétitif. Elle se porte mieux quand le prix du lait est élevé et les marchés bons. Notre santé dépend en premier de l’état des marchés. 30 % du lait produit en France est transformé en beurre-poudre qui est vendu actuellement à perte sur les marchés mondiaux. Les pays affichant des prix du lait plus élevés ne produisent pas de beurre-poudre. Ils font uniquement des produits plus ou moins valorisés. L’avenir de la production laitière dépend de la capacité de l’industrie à valoriser le lait. Et cela nécessite que la France soit sur un pied d’égalité avec ses concurrents.
LM : À votre avis, l’industrie est-elle suffisamment concentrée ?
O. P. : L’industrie laitière est déjà relativement concentrée et comporte des entreprises parmi les leaders mondiaux du secteur. Mais il y aura sûrement d’autres concentrations. Si 20 % des exportations sont perdus tous les ans, à terme des pertes sont à craindre du côté des producteurs comme des industriels. Entremont est dans une situation difficile en raison d’un prix déphasé par rapport à sa capacité à valoriser ce lait. Tout le monde ne fabrique pas « Actimel », « Président », ou « Caprice des Dieux ». Le véritable enjeu pour les industriels est de créer de la valeur. Il faut sortir de la logique d’écoulement.
LM : Quelles propositions la Fnil a-t-elle émises pour mettre en place la contractualisation, tant voulue par le ministre ?
O. P. : Les entreprises privées ont déjà des relations contractuelles très anciennes avec leurs producteurs. Nous n’avons pas de rôle normatif en la matière. Quand les producteurs regrettent de ne pas connaître le prix
« Tout le système laitier est en train de s’effondrer »
La maîtrise de la production et la gestion des excédents laitiers restent des questions centrales pour le président de la Fédération des industries laitières, qui considère que dans la situation de crise actuelle, le « modèle agricole français » ne se maintiendra que s’il gagne en compétitivité.
Les Marchés : Quel regard portez-vous sur la situation de la filière laitière au niveau français, ainsi qu’au niveau européen et mondial ?
Olivier Picot : Les entreprises portent un regard déçu et exaspéré sur la perte de compétitivité de l’industrie française. Tout le système laitier est en train de s’effondrer. Cela peut entraîner une perte d’efficacité de l’amont laitier. Cette situation pourrait se retourner contre les producteurs eux-mêmes. Certains sont très attachés à notre modèle agricole français. Comment faire pour qu’il dure ? Qu’il soit compétitif. Le modèle agricole français n’est pas fait uniquement de petites exploitations dans tous les villages de France. La France laitière, c’est aussi 30 % du lait produit en beurre-poudre sur le marché mondial, avec au milieu une industrie puissante, 7 milliards d’euros d’exportations. C’est cela aussi le modèle agricole français. Ce n’est pas uniquement des AOC, c’est aussi une industrie laitière. Si cet ensemble est considéré comme faisant partie du modèle agricole, cela me rassure.
LM : Les solutions envisagées par le couple franco-allemand sur la nouvelle régulation laitière européenne vous satisfont-elles ?
O. P. : Encore une fois, sauf rebâtir un dispositif européen administré – ce que les 27 États membres ne souhaitent pas –, il va bien falloir prendre en compte la demande des consommateurs et les prix sur les marchés. Si nous n’allons pas sur ce terrain-là, la filière (les industriels tout comme les producteurs) va faire face à d’importants déboires. Dans cette perspective, tous les outils proposés peuvent être parfaitement utiles. C’est dans le pays où le lait est 20 % plus cher qu’ailleurs qu’il y a les plus grandes manifestations de producteurs. Malgré un prix élevé en France, les éleveurs sont cependant en grande difficulté, ce qui prouve bien qu’il y a un problème de compétitivité en amont. La filière doit prendre en main sa propre restructuration. À défaut, nous risquons de perdre durablement des parts de marché. Pour la première fois, les importations allemandes sont très importantes. Si rien ne change, les conséquences seront dévastatrices pour l’industrie. À terme, le risque est de transférer la consommation et la production laitières en Allemagne. En situation de crise, les plus efficaces émergent. Manifestement, ce ne sont pas les Français.
LM : Voulez-vous dire qu’il y a trop de producteurs de lait en France ?
O. P. : Ce n’est pas ce que je pense. Depuis 20 ans, alors que les quotas existaient – les défendre me paraît d’ailleurs illusoire –, le nombre de producteurs n’a cessé de baisser. Le prix de revient du lait est central et il ne dépend pas du nombre de producteurs. L’industrie ne demande pas des prix du lait bas, mais un prix du lait compétitif. Elle se porte mieux quand le prix du lait est élevé et les marchés bons. Notre santé dépend en premier de l’état des marchés. 30 % du lait produit en France est transformé en beurre-poudre qui est vendu actuellement à perte sur les marchés mondiaux. Les pays affichant des prix du lait plus élevés ne produisent pas de beurre-poudre. Ils font uniquement des produits plus ou moins valorisés. L’avenir de la production laitière dépend de la capacité de l’industrie à valoriser le lait. Et cela nécessite que la France soit sur un pied d’égalité avec ses concurrents.
LM : À votre avis, l’industrie est-elle suffisamment concentrée ?
O. P. : L’industrie laitière est déjà relativement concentrée et comporte des entreprises parmi les leaders mondiaux du secteur. Mais il y aura sûrement d’autres concentrations. Si 20 % des exportations sont perdus tous les ans, à terme des pertes sont à craindre du côté des producteurs comme des industriels. Entremont est dans une situation difficile en raison d’un prix déphasé par rapport à sa capacité à valoriser ce lait. Tout le monde ne fabrique pas « Actimel », « Président », ou « Caprice des Dieux ». Le véritable enjeu pour les industriels est de créer de la valeur. Il faut sortir de la logique d’écoulement.
LM : Quelles propositions la Fnil a-t-elle émises pour mettre en place la contractualisation, tant voulue par le ministre ?
O. P. : Les entreprises privées ont déjà des relations contractuelles très anciennes avec leurs producteurs. Nous n’avons pas de rôle normatif en la matière. Quand les producteurs regrettent de ne pas connaître le prix du mois prochain, les entreprises regrettent de ne pas en connaître le volume. Les contrats vont certainement évoluer puisque la Pac va elle-même changer, alors qu’elle fournissait des éléments de régulation européenne. Que le ministre ait le souci de débattre avec l’interprofession, en particulier dans le cadre de la loi de modernisation agricole, voulue d’ailleurs par son prédécesseur, des détails de ces contrats, très bien. Mais encore une fois, le cœur du contrat entre producteurs et industriels appartient à ce couple-là. L’ordre du jour reste tout de même d’essayer de faire respirer la filière et de laisser autant que possible la main aux opérateurs. Allons dans ce sens-là. L’Europe conduit à cela.
LM : Quel a été l’impact de la grève du lait sur les industriels ?
O. P. : Il y a eu peu de refus de vente de la part de nos fournisseurs. Une baisse de 6 à 7 % a été constatée, avec des situations différentes selon les régions du mois prochain, les entreprises regrettent de ne pas en connaître le volume. Les contrats vont certainement évoluer puisque la Pac va elle-même changer, alors qu’elle fournissait des éléments de régulation européenne. Que le ministre ait le souci de débattre avec l’interprofession, en particulier dans le cadre de la loi de modernisation agricole, voulue d’ailleurs par son prédécesseur, des détails de ces contrats, très bien. Mais encore une fois, le cœur du contrat entre producteurs et industriels appartient à ce couple-là. L’ordre du jour reste tout de même d’essayer de faire respirer la filière et de laisser autant que possible la main aux opérateurs. Allons dans ce sens-là. L’Europe conduit à cela.
LM : Quel a été l’impact de la grève du lait sur les industriels ?
O. P. : Il y a eu peu de refus de vente de la part de nos fournisseurs. Une baisse de 6 à 7 % a été constatée, avec des situations différentes selon les régions
les contrats arrivent et la negociation sur les prix de debut d anne aussi
« Tout le système laitier est en train de s’effondrer »
La maîtrise de la production et la gestion des excédents laitiers restent des questions centrales pour le président de la Fédération des industries laitières, qui considère que dans la situation de crise actuelle, le « modèle agricole français » ne se maintiendra que s’il gagne en compétitivité.
Les Marchés : Quel regard portez-vous sur la situation de la filière laitière au niveau français, ainsi qu’au niveau européen et mondial ?
Olivier Picot : Les entreprises portent un regard déçu et exaspéré sur la perte de compétitivité de l’industrie française. Tout le système laitier est en train de s’effondrer. Cela peut entraîner une perte d’efficacité de l’amont laitier. Cette situation pourrait se retourner contre les producteurs eux-mêmes. Certains sont très attachés à notre modèle agricole français. Comment faire pour qu’il dure ? Qu’il soit compétitif. Le modèle agricole français n’est pas fait uniquement de petites exploitations dans tous les villages de France. La France laitière, c’est aussi 30 % du lait produit en beurre-poudre sur le marché mondial, avec au milieu une industrie puissante, 7 milliards d’euros d’exportations. C’est cela aussi le modèle agricole français. Ce n’est pas uniquement des AOC, c’est aussi une industrie laitière. Si cet ensemble est considéré comme faisant partie du modèle agricole, cela me rassure.
LM : Les solutions envisagées par le couple franco-allemand sur la nouvelle régulation laitière européenne vous satisfont-elles ?
O. P. : Encore une fois, sauf rebâtir un dispositif européen administré – ce que les 27 États membres ne souhaitent pas –, il va bien falloir prendre en compte la demande des consommateurs et les prix sur les marchés. Si nous n’allons pas sur ce terrain-là, la filière (les industriels tout comme les producteurs) va faire face à d’importants déboires. Dans cette perspective, tous les outils proposés peuvent être parfaitement utiles. C’est dans le pays où le lait est 20 % plus cher qu’ailleurs qu’il y a les plus grandes manifestations de producteurs. Malgré un prix élevé en France, les éleveurs sont cependant en grande difficulté, ce qui prouve bien qu’il y a un problème de compétitivité en amont. La filière doit prendre en main sa propre restructuration. À défaut, nous risquons de perdre durablement des parts de marché. Pour la première fois, les importations allemandes sont très importantes. Si rien ne change, les conséquences seront dévastatrices pour l’industrie. À terme, le risque est de transférer la consommation et la production laitières en Allemagne. En situation de crise, les plus efficaces émergent. Manifestement, ce ne sont pas les Français.
LM : Voulez-vous dire qu’il y a trop de producteurs de lait en France ?
O. P. : Ce n’est pas ce que je pense. Depuis 20 ans, alors que les quotas existaient – les défendre me paraît d’ailleurs illusoire –, le nombre de producteurs n’a cessé de baisser. Le prix de revient du lait est central et il ne dépend pas du nombre de producteurs. L’industrie ne demande pas des prix du lait bas, mais un prix du lait compétitif. Elle se porte mieux quand le prix du lait est élevé et les marchés bons. Notre santé dépend en premier de l’état des marchés. 30 % du lait produit en France est transformé en beurre-poudre qui est vendu actuellement à perte sur les marchés mondiaux. Les pays affichant des prix du lait plus élevés ne produisent pas de beurre-poudre. Ils font uniquement des produits plus ou moins valorisés. L’avenir de la production laitière dépend de la capacité de l’industrie à valoriser le lait. Et cela nécessite que la France soit sur un pied d’égalité avec ses concurrents.
LM : À votre avis, l’industrie est-elle suffisamment concentrée ?
O. P. : L’industrie laitière est déjà relativement concentrée et comporte des entreprises parmi les leaders mondiaux du secteur. Mais il y aura sûrement d’autres concentrations. Si 20 % des exportations sont perdus tous les ans, à terme des pertes sont à craindre du côté des producteurs comme des industriels. Entremont est dans une situation difficile en raison d’un prix déphasé par rapport à sa capacité à valoriser ce lait. Tout le monde ne fabrique pas « Actimel », « Président », ou « Caprice des Dieux ». Le véritable enjeu pour les industriels est de créer de la valeur. Il faut sortir de la logique d’écoulement.
LM : Quelles propositions la Fnil a-t-elle émises pour mettre en place la contractualisation, tant voulue par le ministre ?
O. P. : Les entreprises privées ont déjà des relations contractuelles très anciennes avec leurs producteurs. Nous n’avons pas de rôle normatif en la matière. Quand les producteurs regrettent de ne pas connaître le prix
« Tout le système laitier est en train de s’effondrer »
La maîtrise de la production et la gestion des excédents laitiers restent des questions centrales pour le président de la Fédération des industries laitières, qui considère que dans la situation de crise actuelle, le « modèle agricole français » ne se maintiendra que s’il gagne en compétitivité.
Les Marchés : Quel regard portez-vous sur la situation de la filière laitière au niveau français, ainsi qu’au niveau européen et mondial ?
Olivier Picot : Les entreprises portent un regard déçu et exaspéré sur la perte de compétitivité de l’industrie française. Tout le système laitier est en train de s’effondrer. Cela peut entraîner une perte d’efficacité de l’amont laitier. Cette situation pourrait se retourner contre les producteurs eux-mêmes. Certains sont très attachés à notre modèle agricole français. Comment faire pour qu’il dure ? Qu’il soit compétitif. Le modèle agricole français n’est pas fait uniquement de petites exploitations dans tous les villages de France. La France laitière, c’est aussi 30 % du lait produit en beurre-poudre sur le marché mondial, avec au milieu une industrie puissante, 7 milliards d’euros d’exportations. C’est cela aussi le modèle agricole français. Ce n’est pas uniquement des AOC, c’est aussi une industrie laitière. Si cet ensemble est considéré comme faisant partie du modèle agricole, cela me rassure.
LM : Les solutions envisagées par le couple franco-allemand sur la nouvelle régulation laitière européenne vous satisfont-elles ?
O. P. : Encore une fois, sauf rebâtir un dispositif européen administré – ce que les 27 États membres ne souhaitent pas –, il va bien falloir prendre en compte la demande des consommateurs et les prix sur les marchés. Si nous n’allons pas sur ce terrain-là, la filière (les industriels tout comme les producteurs) va faire face à d’importants déboires. Dans cette perspective, tous les outils proposés peuvent être parfaitement utiles. C’est dans le pays où le lait est 20 % plus cher qu’ailleurs qu’il y a les plus grandes manifestations de producteurs. Malgré un prix élevé en France, les éleveurs sont cependant en grande difficulté, ce qui prouve bien qu’il y a un problème de compétitivité en amont. La filière doit prendre en main sa propre restructuration. À défaut, nous risquons de perdre durablement des parts de marché. Pour la première fois, les importations allemandes sont très importantes. Si rien ne change, les conséquences seront dévastatrices pour l’industrie. À terme, le risque est de transférer la consommation et la production laitières en Allemagne. En situation de crise, les plus efficaces émergent. Manifestement, ce ne sont pas les Français.
LM : Voulez-vous dire qu’il y a trop de producteurs de lait en France ?
O. P. : Ce n’est pas ce que je pense. Depuis 20 ans, alors que les quotas existaient – les défendre me paraît d’ailleurs illusoire –, le nombre de producteurs n’a cessé de baisser. Le prix de revient du lait est central et il ne dépend pas du nombre de producteurs. L’industrie ne demande pas des prix du lait bas, mais un prix du lait compétitif. Elle se porte mieux quand le prix du lait est élevé et les marchés bons. Notre santé dépend en premier de l’état des marchés. 30 % du lait produit en France est transformé en beurre-poudre qui est vendu actuellement à perte sur les marchés mondiaux. Les pays affichant des prix du lait plus élevés ne produisent pas de beurre-poudre. Ils font uniquement des produits plus ou moins valorisés. L’avenir de la production laitière dépend de la capacité de l’industrie à valoriser le lait. Et cela nécessite que la France soit sur un pied d’égalité avec ses concurrents.
LM : À votre avis, l’industrie est-elle suffisamment concentrée ?
O. P. : L’industrie laitière est déjà relativement concentrée et comporte des entreprises parmi les leaders mondiaux du secteur. Mais il y aura sûrement d’autres concentrations. Si 20 % des exportations sont perdus tous les ans, à terme des pertes sont à craindre du côté des producteurs comme des industriels. Entremont est dans une situation difficile en raison d’un prix déphasé par rapport à sa capacité à valoriser ce lait. Tout le monde ne fabrique pas « Actimel », « Président », ou « Caprice des Dieux ». Le véritable enjeu pour les industriels est de créer de la valeur. Il faut sortir de la logique d’écoulement.
LM : Quelles propositions la Fnil a-t-elle émises pour mettre en place la contractualisation, tant voulue par le ministre ?
O. P. : Les entreprises privées ont déjà des relations contractuelles très anciennes avec leurs producteurs. Nous n’avons pas de rôle normatif en la matière. Quand les producteurs regrettent de ne pas connaître le prix du mois prochain, les entreprises regrettent de ne pas en connaître le volume. Les contrats vont certainement évoluer puisque la Pac va elle-même changer, alors qu’elle fournissait des éléments de régulation européenne. Que le ministre ait le souci de débattre avec l’interprofession, en particulier dans le cadre de la loi de modernisation agricole, voulue d’ailleurs par son prédécesseur, des détails de ces contrats, très bien. Mais encore une fois, le cœur du contrat entre producteurs et industriels appartient à ce couple-là. L’ordre du jour reste tout de même d’essayer de faire respirer la filière et de laisser autant que possible la main aux opérateurs. Allons dans ce sens-là. L’Europe conduit à cela.
LM : Quel a été l’impact de la grève du lait sur les industriels ?
O. P. : Il y a eu peu de refus de vente de la part de nos fournisseurs. Une baisse de 6 à 7 % a été constatée, avec des situations différentes selon les régions du mois prochain, les entreprises regrettent de ne pas en connaître le volume. Les contrats vont certainement évoluer puisque la Pac va elle-même changer, alors qu’elle fournissait des éléments de régulation européenne. Que le ministre ait le souci de débattre avec l’interprofession, en particulier dans le cadre de la loi de modernisation agricole, voulue d’ailleurs par son prédécesseur, des détails de ces contrats, très bien. Mais encore une fois, le cœur du contrat entre producteurs et industriels appartient à ce couple-là. L’ordre du jour reste tout de même d’essayer de faire respirer la filière et de laisser autant que possible la main aux opérateurs. Allons dans ce sens-là. L’Europe conduit à cela.
LM : Quel a été l’impact de la grève du lait sur les industriels ?
O. P. : Il y a eu peu de refus de vente de la part de nos fournisseurs. Une baisse de 6 à 7 % a été constatée, avec des situations différentes selon les régions
les contrats arrivent et la negociation sur les prix de debut d anne aussi
PV 53- + membre techno +
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Gain de productivité
Rappel
Madame Fischer Boel, les laitiers ou l’esclavages des blancs (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mariann_Fischer_Boel#Biographie)
Pour produire pas chez un aliment de base comme le lait avec
- les mêmes vaches,
- les mêmes aliments,
- les mêmes protéines
pour
- les mêmes transformateurs,
- les mêmes banquiers,
- les mêmes spéculateurs,
- les mêmes circuits de distributions,
les laitiers bretons, normands, lorrains ou d’autres régions
traditionnelle de productions sont trop cher. Il vous fallait trouver
d’autres esclaves.
Mais au fait, rappelez moi qui a dit que le libre échange était la seule solution, ce ne serait-ce pas un banquier.
Madame Fischer Boel, les laitiers ou l’esclavages des blancs (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mariann_Fischer_Boel#Biographie)
Pour produire pas chez un aliment de base comme le lait avec
- les mêmes vaches,
- les mêmes aliments,
- les mêmes protéines
pour
- les mêmes transformateurs,
- les mêmes banquiers,
- les mêmes spéculateurs,
- les mêmes circuits de distributions,
les laitiers bretons, normands, lorrains ou d’autres régions
traditionnelle de productions sont trop cher. Il vous fallait trouver
d’autres esclaves.
Mais au fait, rappelez moi qui a dit que le libre échange était la seule solution, ce ne serait-ce pas un banquier.
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Assis
Re: greve du lait
Ou en sont les laitiers aujourd'hui ?
GL- + membre techno +
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Assis
Re: greve du lait
GL a écrit:Ou en sont les laitiers aujourd'hui ?
je ne sais pas trop où ils en sont et si les prix se sont relevés mais par chez moi les cessations continuent, et pas des petits quotas! De toute façon les petits quotas avaient déjà arrété.
D'ici 4 à 5 ans le dernier laitier de ma commune aura arrété alors qu'il étaient 5 il y a 4 ans! C'est pas bon signe tout ça...
Invité- Invité
Re: greve du lait
GL a écrit:Ou en sont les laitiers aujourd'hui ?
au salon a PARIS journée EMB APLI
Meeting des producteurs de lait européens - Le 1er mars au SIA | ||
[ 25/02/2010 16:57 ] Les producteurs de lait de l’OPL, l’APLI et de l’EMB se réuniront le 1er mars à Paris au Salon International de l’Agriculture pour "promouvoir un nouveau système de régulation du prix de la production et des marchés laitiers". | ||
Les producteurs de lait réunis au sein de l’EMB, convaincus de la nécessité de réguler la production de lait au niveau européen, vont remettre la question au centre des débats lors du Salon International de l’Agriculture. Ils se réuniront : Le 1er mars à 15h00 Salle SIRIUS PAVILLON 7- NIVEAU 3 Parc des expositions - Porte de Versailles Ils réaffirmeront leur volonté de création d’un office européen de régulation du lait ainsi que leur détermination à ne pas se laisser asservir par les laiteries, les industriels et les politiques |
PV 53- + membre techno +
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SO 53
Re: greve du lait
GL a écrit:Ou en sont les laitiers aujourd'hui ?
tout pres de chez moi
http://videos.tf1.fr/jt-20h/des-agriculteurs-au-rsa-5710772.html
PV 53- + membre techno +
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SO 53
Re: greve du lait
Je confirme la demande de polomi.
Combien on achète le lait départ ferme à 38/1000 de MG.
Combien on achète le lait départ ferme à 38/1000 de MG.
GL- + membre techno +
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Assis
Re: greve du lait
polomi a écrit:à tout hasard, quel est le prix du lait départ ferme actuellement?
pour ce mois ci , ça sera 274€ les 1000 , ensuite ça continu à baisser
Invité- Invité
Re: greve du lait
quelle hontepetit chat 29 a écrit:polomi a écrit:à tout hasard, quel est le prix du lait départ ferme actuellement?
pour ce mois ci , ça sera 274€ les 1000 , ensuite ça continu à baisser
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par là dans la campagne gersoise
Re: greve du lait
GREVE DU LAIT !!!!!!!!!!!!! l' idée était bonne
Mieux vaut être SALARIE !!!!!!!!!!
Et ça a super bien marché pour eux .............comme quoi l'idée était bonne !!!
Mais nous on a les boulets FD JA
https://2img.net/r/ihimizer/img28/6218/grvedanone.jpg
Mieux vaut être SALARIE !!!!!!!!!!
Et ça a super bien marché pour eux .............comme quoi l'idée était bonne !!!
Mais nous on a les boulets FD JA
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camito- + membre techno +
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Plateau Picard sud
Re: greve du lait
http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/321897/Greve_a_l_usine_Danone
camito- + membre techno +
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Plateau Picard sud
Re: greve du lait
Chers producteurs prenaient le temps de LIRE !!!
je vous en prie
Ferrieres-En-Bray
Grève à l'usine Danone
Agrandir la photo
Au terme de deux jours de grève, les salariés ont obtenu une augmentation de 2 % au 1er mars
FERRIERES-EN-BRAY.Les salariés de Danone ont suivi le mouvement de grève national. Un débrayage de deux jours.
«On est déterminés à se faire entendre. On n'arrêtera pas tant qu'on n'aura pas obtenu satisfaction ». Mardi matin, 9 h, les salariés de l'usine Danone de Ferrières-en-Bray se mettent en grève. Ils ont majoritairement décidé de suivre l'appel à la grève nationale des quatre syndicats CGC, CFDT, FO et CGT. « Nos revendications portent sur les salaires. Nous demandons une meilleure répartition des richesses », explique Christophe Dumont, élu titulaire au comité d'entreprise (CE), sous l'organisation FO. Au terme de deux jours de négociations, un accord a été signé. Et les salariés ont repris le travail hier en fin de journée.
Deux jours de débrayage
Le débrayage a débuté avec la dernière réunion de la Négociation annuelle obligatoire (NAO), qui se tenait au siège du groupe, à Saint-Ouen. L'intersyndicale a estimé que la dernière proposition sur les augmentations salariales était insuffisante en comparaison avec les résultats 2009. « Les résultats de la société Danone France, c'est 115 M€ en 2008 et 149 M€ en 2009. Des dividendes versés intégralement au groupe. Nous, on n'en voit pas la couleur », déclarait hier matin, Denis Enfert, délégué syndical CGT. Et d'ajouter : « Notre proposition de départ représente un budget de 7,9 M€ pour le groupe. Ce qui n'est pas énorme. »
Au deuxième jour de grève, devant l'entrée de l'entreprise, les grévistes sont résolus à obtenir gain de cause. « On n'a pas perdu deux jours de salaire pour rien », lance l'un d'eux. Drapeaux, feux de palettes, ils sont plusieurs dizaines à tenir le siège devant le site. « On est 90 % d'ouvriers à faire grève. On déplore seulement l'absence de quelques chefs », explique Christophe Dumont. « On a décidé aujourd'hui de bloquer complètement l'usine en empêchant les entrées et les sorties », raconte Denis Enfert. Heure après heure, ils suivent de près les négociations.
Un accord a été signé hier
Et vers 16 h, c'est la délivrance. « Un accord a été signé par trois organisations syndicales (FO, CFDT et CGT). Tout le monde a repris le travail. Nous avons jugé cet accord correct », déclare Denis Enfert, satisfait. « Nous avons obtenu une augmentation de 2 % au 1er mars, avec un minimum de 60 €. En plus, nous avons eu aussi une prime d'habillage et de déshabillage de 90 € par an, mais aussi une augmentation sur la prime de vacances qui passe de 250 à 300 €. Nous avons également obtenu un changement du mode de calcul de notre prime de transport. Seront désormais pris en compte les kilomètres réels, aller et retour. Les subventions pour les œuvres sociales (le CE) vont augmenter de 0,05 %. Enfin nous bénéficions d'une prime exceptionnelle de 150 € », expose le délégué syndical.
Contacté hier, le directeur du site n'a pas été en mesure de répondre à nos questions.
J.
je vous en prie
Ferrieres-En-Bray
Grève à l'usine Danone
Agrandir la photo
Au terme de deux jours de grève, les salariés ont obtenu une augmentation de 2 % au 1er mars
FERRIERES-EN-BRAY.Les salariés de Danone ont suivi le mouvement de grève national. Un débrayage de deux jours.
«On est déterminés à se faire entendre. On n'arrêtera pas tant qu'on n'aura pas obtenu satisfaction ». Mardi matin, 9 h, les salariés de l'usine Danone de Ferrières-en-Bray se mettent en grève. Ils ont majoritairement décidé de suivre l'appel à la grève nationale des quatre syndicats CGC, CFDT, FO et CGT. « Nos revendications portent sur les salaires. Nous demandons une meilleure répartition des richesses », explique Christophe Dumont, élu titulaire au comité d'entreprise (CE), sous l'organisation FO. Au terme de deux jours de négociations, un accord a été signé. Et les salariés ont repris le travail hier en fin de journée.
Deux jours de débrayage
Le débrayage a débuté avec la dernière réunion de la Négociation annuelle obligatoire (NAO), qui se tenait au siège du groupe, à Saint-Ouen. L'intersyndicale a estimé que la dernière proposition sur les augmentations salariales était insuffisante en comparaison avec les résultats 2009. « Les résultats de la société Danone France, c'est 115 M€ en 2008 et 149 M€ en 2009. Des dividendes versés intégralement au groupe. Nous, on n'en voit pas la couleur », déclarait hier matin, Denis Enfert, délégué syndical CGT. Et d'ajouter : « Notre proposition de départ représente un budget de 7,9 M€ pour le groupe. Ce qui n'est pas énorme. »
Au deuxième jour de grève, devant l'entrée de l'entreprise, les grévistes sont résolus à obtenir gain de cause. « On n'a pas perdu deux jours de salaire pour rien », lance l'un d'eux. Drapeaux, feux de palettes, ils sont plusieurs dizaines à tenir le siège devant le site. « On est 90 % d'ouvriers à faire grève. On déplore seulement l'absence de quelques chefs », explique Christophe Dumont. « On a décidé aujourd'hui de bloquer complètement l'usine en empêchant les entrées et les sorties », raconte Denis Enfert. Heure après heure, ils suivent de près les négociations.
Un accord a été signé hier
Et vers 16 h, c'est la délivrance. « Un accord a été signé par trois organisations syndicales (FO, CFDT et CGT). Tout le monde a repris le travail. Nous avons jugé cet accord correct », déclare Denis Enfert, satisfait. « Nous avons obtenu une augmentation de 2 % au 1er mars, avec un minimum de 60 €. En plus, nous avons eu aussi une prime d'habillage et de déshabillage de 90 € par an, mais aussi une augmentation sur la prime de vacances qui passe de 250 à 300 €. Nous avons également obtenu un changement du mode de calcul de notre prime de transport. Seront désormais pris en compte les kilomètres réels, aller et retour. Les subventions pour les œuvres sociales (le CE) vont augmenter de 0,05 %. Enfin nous bénéficions d'une prime exceptionnelle de 150 € », expose le délégué syndical.
Contacté hier, le directeur du site n'a pas été en mesure de répondre à nos questions.
J.
camito- + membre techno +
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Re: greve du lait
ac/dc59 a écrit:Lequesnoy ce matin fête du lait
je suis sur la tof , mais il faut le savoir
au volant en haut à droite
dure semaine
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entre la boulette d'avesnes et le maroilles
Re: greve du lait
tu fouilles les archives , seguim ?
et he man ,il est des notres aussi ? ...
je suis a une heure de route de formerie , une heure de ledinghem , une heure de la cappelle ;environ ...
je vais aller a formerie et le lendemain ,j irai bien dire bonjour a erwin chez vous ....
j aurais voulu faire une reunion dans notre secteur, qui ne se deplacera pas,mais c est trop juste , paul ne reste que deux jours ....
et he man ,il est des notres aussi ? ...
je suis a une heure de route de formerie , une heure de ledinghem , une heure de la cappelle ;environ ...
je vais aller a formerie et le lendemain ,j irai bien dire bonjour a erwin chez vous ....
j aurais voulu faire une reunion dans notre secteur, qui ne se deplacera pas,mais c est trop juste , paul ne reste que deux jours ....
camito- + membre techno +
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Plateau Picard sud
Re: greve du lait
C'est les producteurs de de lait de brebis qui sont dans la tourmente dans la pays basque.
GL- + membre techno +
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Assis
Re: greve du lait
SCOOP-ARCHIVES. EN 2004 DÉJÀ LA FEDE PENSAIT A UNE GRÉVE DU LAIT .
MAIS ILS N'ONT JAMAIS OSÉ !!!
MAIS ILS N'ONT JAMAIS OSÉ !!!
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